vendredi 21 janvier 2022

Des dégoûts et des odeurs

Puisque j’ai été sage durant les fêtes de fin d’année, m’appliquant à ne pas trop manger, à ne pas trop boire, à dire bonjour, au revoir, merci, à ne pas sortir non masqué, à être poli avec tout le monde, ce qui fut de loin le plus difficile pour moi, je peux bien aujourd’hui m’accorder un petit plaisir. 

Le thème du jour, qui n’en est pas vraiment un, plutôt un clin d’œil amusé, ce n’est pas dans la couverture médiatique de l’actualité locale que je suis allé le dénicher. Allé n’est d’ailleurs pas le mot juste puisqu’il m’est tombé tout cru dans les mains sous la forme d’un message « fesse bouc » de ma fille aînée, elle-même littéraire par goût et spécialiste ès « moucatages » par nature (les chiens ne font pas des chats), assorti de la copie d’une lettre placardée par sa concierge sur la porte d’entrée de sa résidence à Montréal. 

Si l’ensemble est aussi bourratif à avaler qu’un bol de Poutine au petit-déjeuner, je ne peux résister au plaisir de vous en servir le morceau le plus savoureux : « Ça risque d’attirer des animaux indésirables et les odeurs qui se propagent partout dans l’immeuble qui sont très nause et abonde. » 
C’est dire à quel point la puanteur devait être « pestil en ciel ».

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