Lu ce matin : « Elle lui donnait son bain, lui faire changer (sic) de vêtements mais également tenir (sic) une surveillance accrut pour ne pas qu’elle parte seule dans la nature » (linfo.re)
6h01 (heure à laquelle l'article a été posté) : c'est apparemment l'heure du « t »… de trop chez nos amis de linfo.re. Désolé pour le vilain jeu de mots, oubliez-le très vite ! Tout cela pour dire que c'est à tort que, dans son article consacré à la journée mondiale Alzheimer, mon confrère a cru bon d'affubler d'un « t » final le participe passé (du verbe du 3e groupe « accroître ») « accru », lequel, à l'instar de « cru », « paru », « perdu » ou « voulu », prend un « e » au féminin. Stupide faute de frappe ou fâcheuse omission ?
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